Rendez-vous culturel
Expos
- Exposition GEM des Dômes29/10/2020Dans le cadre de la 31ème édition de la semaine d'information sur la santé mentale, découvrez l'exposition de photos et peintures des adhérents du GEM (Groupe d'Entraide Mutuelle) des Dômes dans les locaux de la Licorne aux horaires d'ouverture de la structure.Rencontre avec le GEM des Dômes le jeudi 29 Octobre à 16h30."Association qui nous aide à rompre l’isolement où l’on partage de bons moments.Nous organisons également des sorties culturelles et nous réalisons des activités manuelles.Cela nous aide à reprendre confiance en nous, à être plus autonome et à vivre en collectivité.A travers cette exposition, nous voulons faire partager des instants qui représentent la vie du GEM".Reporté !
- VIRGINIE CHOMETTE12/09/2020VIRGINIE CHOMETTE - Art TextileRecyclobrodeuse, papimaginatrice,récuperologue, tissucologue, ... voici comment se définit, non sans humour, Virginie CHOMETTE. Diplômée de l’École des Beaux Arts, son travail s'inspire des couleurs, des matières et des formes. Elle les questionne, les manipule, les confronte ... puis les assemble. Combinaisons aux accents primitifs et poétiques. Découverte d'un monde fantasmagorique où l'observateur laisse libre cours à son imagination pour invoquer une myriade de scénarios esthétiques. Le mieux, finalement, est de rencontrer cette artiste singulière, et de se laisser porter par la réalité des possibles.Du 19 au 23 octobre, Virginie Chomette et laLicorne vous proposent de créer ensemble unefresque textile murale dans les locaux de laLicorne, de découvrir le travail de l'artiste, d’allerà la rencontre de son imaginaire, et du vôtre, departiciper à une oeuvre collective, de partager etd’offrir un peu de soi et de réveiller la magie deslieux …Horaires :Du lundi 19 au vendredi 23 octobre,de 14h à 17h30Tarifs :1 jour12 euros adhérent18 euros non-adhérent5 jours40 euros adhérent55 euros non-adhérentRenseignements et inscription :9, route de Brioude63340 St Germain Lembrontel : 04.63.80.92.64contact@lalicorneinfo.frhttps://lalicorneinfo.du 12 Septembre au 23 Octobre 2020
- Exposition du FRAC13/03/2020LE SPECTACLE DU MONDEDU 13 MARS AU 18 MAI 2020Faire face à l’immensité d’un océan ou d’une chaîne de montagnes constitue toujours une expérience mêlée de sublime et d’intense fascination. Pourtant, apprécier la beauté de ces espaces n’a pas toujours été si évident et pour s’en convaincre il suffit de regarder la manière dont la montagne a longtemps été perçue. Qualifiée "d’affreux pays" par Montesquieu, longtemps contournée par les voyageurs qui ne voyaient en elle qu’un lieu de danger accablé de maladies effrayantes, il faut attendre le XVIIIe siècle pour que la montagne devienne un sujet d’admiration. Et le constat pourrait être le même pour la mer, le désert, les volcans, réduits pendant longtemps à leur seule utilité scientifique.
Cette évolution du regard peut s’expliquer en partie par l’évolution de la notion de paysage. En effet, jusqu’au siècle des Lumières, ces environnements étaient ce que le philosophe Alain Roger appelle des "pays" - et non des paysages : "Le pays, c’est en quelque sorte le degré zéro du paysage [...]. Voilà ce que nous enseigne l’histoire, mais nos paysages sont devenus si familiers, si "naturels" que nous avons accoutumé de croire que leur beauté allait de soi ; et c’est aux artistes qu’il appartient de rappeler cette vérité première, mais oubliée : qu’un pays n’est pas d’emblée un paysage et qu’il y a de l’un à l’autre toute l’élaboration de l’art1".
Pour Alain Roger, l’art nous aurait "appris", à travers ses représentations, à apprécier ces environnements - soulignant au passage que ce que nous pensions être un sentiment tout à fait naturel serait en fait un héritage culturel2...
Si d’autres facteurs peuvent sans doute expliquer ce rapport nouveau que les hommes entretiennent avec leur environnement depuis le XVIIIe siècle, il est intéressant de voir de quelle manière les artistes aujourd’hui continuent l’exploration de cette notion de paysage. Ils parviennent ainsi à renouveler tout autant l’histoire de sa représentation que le regard que l’on porte sur ce qui nous entoure.
Si les œuvres de Silke Otto-Knapp ou encore de Darren Almond entretiennent des relations étroites avec les visions romantiques des paysages de Caspar David Friedrich (1774-1840), il est intéressant de voir de quelle manière le paysage devient parfois un prétexte pour évoquer des considérations plus générales, d’ordre sociétal, environnemental (Anne-Sophie Emard).L’exposition montre également de quelle manière les artistes deviennent aussi de véritables arpenteurs du monde et élargissent toujours plus notre ligne d’horizon. Les œuvres présentes dans cette exposition sont pour beaucoup marquées par la déambulation, la perception, point de départ à l’élaboration d’œuvres saisissant le paysage autant dans sa monumentalité (Georges Rousse, Darren Almond...) que dans ce qu’il a de plus fragile, de plus délicat (Xavier Zimmermann, Marie Zawieja). Pour en rendre compte, les artistes accordent leur geste, leur position au rythme de ces territoires traversés, éprouvés. À la beauté grandiose des paysages du Népal répondent la courbe majestueuse d’une herbe ou la légèreté d’une feuille qui repose sur le sol ; des portions de paysage a priori banals mais qui versent miraculeusement vers le sublime, dévoilant à notre regard tout le spectacle du monde.1 Alain Roger, Court traité du paysage, 1997, Editions Gallimard, Paris.
2 Janine Vittori. Le paysage. https://ia2b.ac-corse.fr/attachment/92844/
Laure Forlay
Chargée des publics au FRAC Auvergne
Commissaire de l’expositionLe vernissage a lieu vendredi 13 Mars à 18h30 - Expo Estelle Aguelon17/01/2020ESTELLE AGUELONDu 17 Janvier au 23 Février 2020Formée aux beaux-arts de Rennes, puis en gravure à l’école de La Cambre à Bruxelles, Estelle Aguelon s’installe en Auvergne où elle reprend une imprimerie typographique.
Depuis 2010, elle travaille comme typographe et conductrice machine chez Cheyne éditeur où elle a illustré 5 livres. Elle poursuit en parallèle son travail de peintre et propose des expositions.
« Le trait d’Aguelon dit que toute forme est d’abord un mouvement dans l’espace, et même s’il s’agit de l’objet immobile (le rocher peut bien être immobile, qui pourrait croire que sa forme le soit, elle qui bouge selon la lumière et l‘ombre, selon l’avancée ou le recul du regard ?). Aussi bien le trait chez elle semble n’avoir ni commencement ni fin, il montre l’intensité d’une apparition et son nécessaire
effacement. Il ne clôt pas, il ouvre, il est l’ouvert en acte. C’est pourquoi son dessin dépasse l’anecdote d’une représentation rassurante, qui satisferait notre appétit de reconnaissance. Il fait mieux, mille fois mieux, et plus rare : il donne à éprouver sous le motif ou la figure ce qui en est la vie même : un mouvement qui tranche sur la neutralité du rien, son surgissement flagrant dont la fugacité même fait le prix. Toute l’aventure fragile de la vie dans un trait, avouez que ce n’est pas banal… ».
Jean-Pierre Siméon
13 novembre 2013https://www.estelleaguelon.com/
ENTREE LIBRE ET GRATUITE
Exposition ouverte
Lundi, jeudi, vendredi de 14h à 18h30
Mardi de 14h à 19h30
Mercredi de 9h à 18h30
Samedi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h30
Dimanche de 9h à 12h30Vernissage en présence de l'artiste vendredi 17 Janvier 2020 à 18h30 - Expo Anaïs Boucheret15/11/2019
ANAÏS BOUCHERET – art singulierEXPOSITION DU 15 NOVEMBRE AU 18 DÉCEMBRE 2019
Les travaux d’Anaïs sont à voir en tant que tels : tout est là, présent. Qu'ils soient sous forme de dessins au crayon de papier ou d'assemblages d'habits et d'objets, ils sont une image à regarder bien en face. Souvent de grande taille, ils sont des ouvertures dans le mur blanc de la salle d'exposition : '' des fenêtres '' du monde d’Anaïs qui s'arrêtent où commence le cadre. Anaïs est une artiste d’atelier, elle fabrique, confectionne ; à l'instar de ses broderies, son travail est minutieux, fastidieux. Elle peint, colle, vernit, si ça ne lui convient pas, elle repeint, recolle, revernit... travaille ses objets jusqu’à l’obtention de ce qu’elle désire : un grand œuvre. Il y a une application, une rigueur. Ses œuvres sont tendues, peu de place est laissée au hasard.
Anaïs récupère des objets qu'elle choisit, réemploie. Ne s'arrêtant pas seulement à l'aspect formel, mais cherchant le coup de cœur, du destin qui amène l'objet à elle. On peut parler d'objets fétiches. Elle détourne des objets ''déjà faits '', non pas au sens de ''ready-made", mais de ''ready-used'', comme le prouvent les semelles de chaussures achetées-portées-usées qu'elle emploie dans ses broderies sur serpillières. Par l'utilisation de l'ornement, ces objets pauvres, usés par la marche, marqués par la vie, sont dotés d’une âme. Réincarnées en oreilles de chiens ou chapeau, l'artiste offre une vie après la mort à ses semelles et chaussures devenues dès lors composantes essentielles de l'objet d'art, objet sacré.
Les sujets amenés sont ceux de la féminité et de ses douleurs, de l'amour, de l'enfance, du cirque, de la fête, du sexe, de la mort. Les œuvres sont denses, généreuses, exultantes et exaltées.
Sa signature AB, sonne comme le début de l' alphabet, qui introduit au monde de l’enfance. Par l’utilisation de couleurs simples et vives, d’objets attrayants : pompons, gommettes et paillettes, l'artiste vient contraster, contrebalancer, apporter une touche légère à des sujets difficiles, durs. Ceux-ci sont présentés avec humour, une farce bien gouailleuse et cynique, qui avec ses couleurs pêchues, montrent la vérité grave de son gros doigt tout rose. Anaïs Boucheret travaille par série. Elle fabrique des objets issus d'une même famille substantielle et formelle, parmi laquelle chaque œuvre est autonome et unique.
Ses images très composées sont à lire, ce sont elles qui s'adressent à nous, droit dans les yeux, fortes, directes, efficaces. Elles n'hésitent pas à faire des analogies ou utiliser des connotations : des renvois à la vie, à l'Histoire, à la Vierge Marie, à se lier avec l'iconographie médiévale, religieuse, patriotique, qu'elle tourne en dérision.L'oiseau de papier à la table de l'homme qui fume ou la bichromie de Songe du Cabinet, font régner sur le travail d'Anaïs Boucheret une atmosphère étrange et solennelle. Le vernis enveloppe les pétales de fleurs, tissus, pages de papier… appliqué en grosse couche, il semble pétrifier ceux-ci, les rendre éternels. Les œuvres d’Anaïs sont posthumes de son vivant.
Elle ourdit le rêve de l'accomplissement de sa grande rétrospective intitulée : Dans ta Farce !
Léa Puissant ©Vernissage : Vendredi 15 Novembre 2019 à 18h30 en présence de l'Artiste.
Entrée libre et gratuiteExposition ouverte
Lundi, jeudi, vendredi de 14h à 18h30
Mardi de 14h à 19h30
Mercredi de 9h à 18h30
Samedi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h30
Dimanche de 9h à 12h30 - Exposition Angèle Sperius14/09/2019
Angèle Spérius
La Fabrique des petites utopies
Après avoir glissé d'un médium à l'autre comme pour échapper à l'ennui ou se complaire dans l'instabilité d'une nouvelle technique, Angèle Spérius, s'éprend de la gravure et ne s'en lasse plus. Le tranchant du noir sur le blanc, le contact du papier gaufré, l'acuité de la gouge coïncident étroitement avec ses personnages trop vite expulsés de la chrysalide de l'enfance, protection ouatée pleine de murmures, de berceuses et d'authentiques princesses.
Ainsi, tout d'abord au sein de l'atelier de Chamalières puis au coeur de La Fabrique des petites utopies, à Yronde et Buron, elle s'exerce tour à tour à la linogravure, l'eau-forte, la pointe sèche et ouvre doucement la porte de son imaginaire peuplé d'arbres assoiffés, de vagues géantes, de maisons vivantes ou de personnages échappés de ces mythes qui, sous leurs airs faussement naïfs, façonnent nos chairs, habitent nos mémoires et nous aident à être au monde.
Soucieuse de remettre sur le devant de la scène les techniques oubliées et les savoir-faire perdus, son travail actuel s'oriente vers l'illustration et la micro édition : recueils de poèmes accompagnés d'images gravés, livres d'artiste associés à l'art de la typographie, jeu de cartes imprimées... A l'heure du « tout » numérique où chacun se doit d'aller plus vite que son voisin, elle s'amuse à taper à la machine à écrire, grave des tampons à la main, bref ...déroule avec lenteur ce temps qui « ne respecte pas ce que l'on fait sans lui ».
En parallèle à son travail personnel, elle créé en 2012, l'association Méluzart afin de partager ses pratiques artistiques avec adultes et enfants en quête de manipulation et d'explorations plastiques et d'ouvrir la porte de son atelier à d'autres artistes lors d'expositions ou de concerts « de poche ».
Par le biais associatif, elle fabrique et vend des objets imprimés en série limitée : T-shirts, petits carnets, sacs, tampons artistiques etc.
Plus d'info sur l'artiste : www.petitesutopies.fr.nf/ ou facebook.com/soifdesarbres
Plus d'info sur l'asso : facebook.com/meluzart
du 14/09/20189 au 23/10/2019 - vernissage le samedi 14/09/2019 à 18h30 en présence de l'artiste - Expo "Les ateliers de la Licorne"12/06/2019La Licorne-Médiathèque-Tiers Lieu est heureuse d'accueillir pour sa dernière exposition de l'année, les œuvres réalisées lors des activités régulières proposées dans la saison. Dessin, peinture, sculpture, couture, vannerie, origami et toutes les créations manuelles des ateliers et stages des vacances.Vernissage le 13 juin à 18h
- Expo Ecole en Art17/05/2019Ecole en art du 17 mai au 5 juin
A la manière des artistes qui sont venus exposer leurs œuvres à la Licorne-Médiathèque-Tiers-Lieu cette année, les enseignants ont été invités à réaliser un travail avec leurs élèves. Venez le découvrir !
aux heures d'ouverture de La Licorne-Médiathèque-Tiers Lieu - Expo Charles Rostan14/03/2019Charles ROSTAN est un photographe hors-normes qui inscrit son travail dans la recherche de
l’expression de la diversité humaine. Il répond aux tentatives de rejet et de stigmatisation desindividus par la beauté. Son objectif plonge dans le réel et révèle des émotions et des souvenirs enfouis.Né le 8 novembre 1969 à Buôn-Ma-Thuột, dans le sud du Vietnam, Charles ROSTAN est
rapatrié en France en 1975 avec ses parents et ses frères et sœurs. Fuyant la guerre et les
menaces de mort pesant sur sa famille, il découvre Paris, la France et le foyer Sonacotra
de Cébazat (63). C’est à partir de cet endroit que son père aura la charge d’organiserl’accueil des asiatiques (Vietnam, Laos, Cambodge, Thaïlande) en Auvergne.Réalisateur, photographe, musicien et arrangeur, Charles a collaboré avec une dizaine
d’entreprises de production audiovisuelle, travaillé pour de nombreux artistes
(danseurs, musiciens) et des enseignes de l’industrie du luxe. Depuis quelques années, ilse consacre à la photo et plus particulièrement au portrait.A travers sa recherche artistique, Charles Rostan interroge l’expression de la diversité.
Son propre métissage l’a souvent conduit à vivre des situations ambigües aussi bien en
France qu’en Asie. Pour de nombreuses personnes, mettre une nationalité sur un visage
permet de se situer soi-même et parfois d’établir des correspondances, sociales,
ethniques, religieuses. Souvent suivent la mise à distance, le rejet et la stigmatisation.
Déjà en 2014, Charles ROSTAN avait tenté de déjouer cette mécanique troublante, en
révélant la très grande diversité du peuple vietnamien, à travers la réalisation d’une
série de portraits ; Une expérience particulièrement marquante qui fera l’objet d’unesuite prochainement.60 portraits pour illustrer la diversité de l’humanité présentés dans un écrin en
octobre à Clermont-Fd.
Touchées par le travail du photographe, des responsables du Conseil départemental du
Puy-de-Dôme lui confient une série de portraits de personnes installées sur le
Puy-de-Dôme et nées à l’étranger. C’est ici que démarre la belle aventure artistique ethumaine Regards Célestes .Entre avril et juillet 2018, une soixantaine de personnes originaires d’Afrique, du
Maghreb, d’Asie, d’Amérique, des Balkans et des quatre coins de l’Europe, ont traversé
l’objectif de l’artiste. Installés en milieu rural ou en ville, ils ont quitté leur pays pour un
ailleurs, il y a 60 ans ou récemment. Ils sont ouvriers, artistes, employés, chefs
d’entreprise, sportifs, chercheurs, retraités, étudiants. Leur apport au territoire est
considérable. 60 visages qui incarnent 60 histoires singulières, touchantes, parfois
incroyables, ponctuées d’épisodes dramatiques ou insolites. Suspendus à 3m du sol ou
diffusés sur un écran géant, ils envoient un message d’humanité et attirent
irrésistiblement l‘attention du spectateur. Ceux que certains voudraient reléguer, les
sans visages, ceux que l’on ne veut pas voir dévoilent une beauté enfouie et sincère.
Une beauté révélée par la relation de confiance établie avec le photographe.
Pendant 3 semaines, près de 2 000 visiteurs, de toutes origines et de toutes classes
sociales ont visité l’expo et participé aux temps forts proposés. Près de 200 adultes et
d’enfants ont exprimé leur ressenti à travers des messages très touchants déposés dansune boîte à regards conçue pour l’occasion.Des visages du bassin et d’ailleurs
Lors de la mise en oeuvre du projet Regards Célestes, Charles avait laissé traîner son
objectif dans plusieurs villages au sud d’Issoire : Saint-Germain-Lembron,
Brassac-Les-Mines, La Combelle, Lamontgie et Auzon. Au fil des rencontres, plusieurs
personnes ont intégré l’exposition présentée à Clermont-Ferrand en octobre 2018. C’est
donc naturellement que ces portraits vont voyager jusqu’à la Licorne et se présenter
aux habitants du territoire.
L’exposition sera constituée d’une dizaine de grands formats (1 40X100 cm ) et d’un
support vidéo avec des portraits issus de l’expo Regards Célestes #1, ainsi que de
nouveaux réalisés à Saint-Germain, Brassac, Le Breuil-sur-Couze, Charbonnier-les-Mines,
etc. Pour ces nouveaux portraits, Charles souhaite s’intéresser particulièrement aux
enfants et petits-enfants des exilés, ceux qu’on appelle communément issus de
l’immigration, de 2è et 3è génération. Nés en France et portant des noms à c onsonanceétrangère .Regarder vers le ciel, comme les oeuvres picturales de la Renaissance
Tous les portraits sont réalisés en extérieur, en utilisant la lumière du jour. «J e n’aime pas
trop les lumières artificielles, j’irai même jusqu’à les considérer comme encombrantes.
Les sujets sont photographiés en plongée, la tête vers le ciel. Cette technique, que
j’utilise depuis quelques années s’inspire des oeuvres picturales de la Renaissance. Elle
offre une perspective originale et délivre un éclairage particulier sur les visages,permettant ainsi des révélations.»Lien vers articles 7 jours à Clermont / Sauvazine
https://www.7joursaclermont.fr/les-portraits-sans-visage-de-charles-rostan-a-la-chapelle-des-cor
deliers/?fbclid=IwAR30NpDv8zEAAuHwAVCre8C6-v9NLgLsbdwJQuU8vSOfYfubaXERkR6sAREhttps://sauvazine.com/regards-celestes-charles-rostan/?fbclid=IwAR0BHkiw4HINa0MqB1CdY8I
Cdq5LC3Re4BPVCrv4oA8bH4Hg4lN3hXxoMsALien vers vidéos
https://www.facebook.com/pOLYSIX9/videos/1833339293430505/UzpfSTIzMTU2ODg3NzMyOT
MxNTpWSzoxNzc5MDY5MjY0NzA1NDM/?active_tab=discussion
https://www.facebook.com/Doneconsult/videos/498366420649558/Du 14 mars au 18 avril 2019Vernissage le 21 Mars 2019 à 18h30 en présence de l'artiste - FELIX RENOULT17/01/2019
Photographies créatives humoristiques basées sur de la mise en scène, du maquettage, de la retouche numérique.
Exposition ouverte du 17/01/19 au 21/02/2019
Lundi, jeudi, vendredi de 14h à 18h30
Mardi de 14h à 19h30
Mercredi de 9h à 12h30 et de 16h à 18h30
Samedi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h30
Dimanche de 9h à 12h30
Pour les groupes, la réservation est obligatoire
Entrée libre et gratuiteL'espace des Arts est ouvert durant les horaires d'ouverture de La Licorne sauf entre 12h30-16h le mercredi (fermé). - Joël BRESSAND - Sculpteur14/09/2018Joël BRESSAND est un sculpteur et présentera sa prochaine exposition du 14 septembre au 18 octobre à l'espace des Arts de la Licorne/Médiathèque/Tiers-Lieu."Je vis depuis toujours très près de la nature. Et depuis toujours je suis fasciné par les formes naturelles, les matériaux naturels. Je suis grand récupérateur de morceaux de bois, de cailloux… en somme de tous les éléments naturels qui sont les matériaux de base de ma création que j'assemble avec toutes sortes d'objets glanés dans mon quotidien, les greniers et les brocantes. Je ne travaille jamais dans la masse, à partir d’un bloc, je travaille toujours à partir d’une forme préexistante. Le point de départ détermine donc le sujet de l’œuvre. [...] J’ai en fait envie de donner aux matériaux une seconde vie, qu’ils aient été ou non précédemment usés. J’ai envie qu’ils paraissent neufs. Je n’arrive pas à garder les matériaux bruts. Il faut que je les ponce, que je les frotte… Je veux chasser justement les traces d’usure."
L'espace des Arts est ouvert durant les horaires d'ouverture de La Licorne sauf entre 12h30-16h le mercredi (fermé). - Espace des Arts, lieu d'expression18/04/2019L'espace des Arts est un lieu d'expression où, tout au long de l'année, nous vous proposons de découvrir une sélection d'artistes contemporains.Du 14 septembre au 18 octobre 2018/Vernissage le 14 septembre - Joël BRESSAND - Sculptures, gravures, images numériquesDu 16 novembre au 20 décembre 2018/Vernissage le 16 novembre - IPIOLO - Artiste plasticienne, gravure, peinture, dessin, papier découpé-plié-sculptéDu 17 janvier au 21 février 2019/Vernissage le 17 janvier - Félix RENOULT - Photographies créatives humoristiquesDu 14 mars au 18 avril 2019/Vernissage le 14 mars - Charles ROSTAN - PhotographiesL'espace des Arts est ouvert durant les horaires d'ouverture de La Licorne sauf entre 12h30-16h le mercredi (fermé).